14 octobre (suite)

Consigne : Rédiger un texte avec le mot : la tante, l’attente, la tente, etc….

La Tante Jeanne

Lorsque j’étais enfant, je détestais les dimanches « tante Jeanne ».

Cela commençait par les recommandations de maman.  Dis bien toujours tante Jeanne, attends qu’elle te dise de t’asseoir à table, ne mets pas tes coudes sur la table, mange proprement, ne te lève pas de table mais attends la fin du repas qui était long, si long !.. Toujours  demander la permission à tante Jeanne. Et comble du comble, tante Jeanne  qui me montrait parfois des porcelaines fragiles, en m’interdisant d’y toucher…  Puis il ne fallait pas parler avant qu’elle m’ait adressé la parole. Ah ! ce n’était pas la tante Jeanne de la chanson de Gilbert Bécaud!

Et si celui-ci s’ennuyait les dimanches à Orly, moi je m’ennuyais ferme chez  la « tante Jeanne » et j’aurai bien supprimé ce jour de la semaine.

                                                                                                                                                                           Monique F.

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L’attente,

Dure période que celle de « l’attente ».

C’est un mot qui sous entend  toujours une « non » satisfaction, une angoisse, souvent avec un reflet de peur et de crainte, de doute.

ŸAttendre le train ?     sera-t-il à l’heure ?

y aura-t-il de la place ?

ŸAttendre un résultat ?

scolaire - médical - situation etc…

ŸAttendre l’amour ?

pour le meilleur et pour le pire

ŸAttendre une naissance ?

comment sera cet enfant ?

anomalies - bonne santé - bonne constitution ?

ŸAttendre une situation ?

un changement de profession, de programme

ŸAttendre le retour d’un enfant !!

ŸAttendre la mort ?

celle de ses proches

celle de ses amis

Et puis… sa propre mort qui peut être sujet d’angoisse ou de délivrance.

La vie sur cette terre est une attente perpétuelle qui pondue nos journées et atténue nos rêves.

L’attente est une non plénitude, une espérance.

                                                                                                                                                                               Monique R

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  La plume à l’encrier,

  faisait le plein de sang,

 et écrivait les mots

 d’un roman policier.

 Les mots « globinnent » sur la page blanche.

                                                                                                                                                                         J.J.L

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« Un coup de pinuche, siouplait ! »

ça f’ra descendre l’amer du palais ;

surtout qu’automne rime avec Latone

et qu’c’est la saison du vin doux

qu’on mange avec des châtaignes et du saindoux.

                                                                                                                                                                 Alain